Baignant autrefois dans les eaux du sud-ouest des États-Unis, un poisson, "Cyprinodon macularius", présent dans le sous-sol de la vallée de la Mort, s'est adapté de façon surprenante après la modification radicale de son environnement aquatique. L'adaptation de son métabolisme aux nouvelles conditions est un exemple étonnant de plasticité physiologique.