Scarlett Johansson : « Babe » de l'année selon GQ version US Scarlett Johansson : « Babe » de l'année selon GQ version US 1m63 de perfection Actrice, chanteuse, mannequin, la jeune Scarlett Johansson continue de séduire le monde. Selon GQ, c’est la « Babe » de l’année ! Blonde, rousse, brune… Féminine sexy ou super-héroïne branchée… Même en chanson, son sex-appeal naturel domine. C’est un fait,
Scarlett Johansson est sublime. Celle qui a été élue à 26 ans «
Babe » de l’année par le magazine américain
GQ poursuit son bonhomme de chemin à Hollywood, avec une simplicité faussement candide (un journaliste, il y a quelques années s’était permis de tester le naturel de sa généreuse poitrine sur un tapis rouge, un beau coup de buzz). Car derrière son minois perdu entre adolescente-lolita et femme fatale ultime, l’épouse de de
Ryan Reynolds a su effacer ses collègues comme
Kirsten Dunst ou
Jessica Alba, notamment par ses choix artistiques malins. D’un côté, elle n’a jamais hésité à emprunter les voies dangereuses du film d’auteur (
Lost in translation de
Sofia Coppola), les réalisateurs reconnus (
Woody Allen en a fait son égérie) et les blockbusters rentre-dedans : elle a rejoint la licence
Iron Man où elle interprète la
Veuve Noire. Un rôle qui a plu aux studios
Marvel puisqu’elle devrait avoir son propre film sur ce personnage, avant de rejoindre
The Avengers, superproduction sur une équipe de super-héros. Moins sculpturale que
Naomi Campbell, les formes généreuses de son mètre soixante-trois ont fait craquer la marque
Reebok, Moët & Chandon, L’Oréal, Dolce & Gabanna et
Mango. Un détour par la musique ? Allez, ne nous privons de rien ! Avec
Pete Yorn (compositeur, en outre des bandes originales de
Dr House), elle publie l’album
Break up. Le titre
Relator, inspiré par le duo
Gainsbourg/
Bardot illustre son talent. Enfin, et ce n’est pas son moindre défaut, la jeune femme, a contrario de nombre de personnalités hollywoodiennes, n’hésite pas à parler politique et religion… La femme parfaite ? Pour beaucoup, oui. Reste à savoir si l’amour de la junk food, que cette new yorkaise assume parfaitement, entre dans cette définition…