Ave Caesar no morituri te salutant
Les combats entre deux gladiateurs se soldaient rarement par la mort d’un des deux combattants.
Détails :
Effectivement, un gladiateur coûtait cher. Dans le cas d’un esclave, le laniste devait l’acheter, l’entraîner, l’équiper, le loger, le nourrir. De plus, la mort d’un gladiateur dans l’arène obligeait l’organisateur du spectacle à rembourser, parfois très cher, le laniste pour sa perte.
Les combats, très réglementés avec la présence d’un ou deux arbitres chargés de faire respecter les règles, s’arrêtaient souvent au premier sang.
Toutefois, des condamnés à mort étaient bien exécutés dans l’arène sous forme de spectacle, d’où cette réputation de barbarie des combats de gladiateur.